Star Wars 7 : les ventes de produits dérivés cartonnent
Avec 700 millions de dollars de jouets vendus en 2015, la firme américaine Disney annonce que Star Wars 7 a vendu plus de produits dérivés que Jurassic World, Avengers et Les Minions réunis.
Si le film Star Wars 7 a facilement amassé plus d’un milliards de dollars mondialement, notamment en dépassant la production Avatar afin de se hisser à la tête des films ayant généré les plus grosses recettes aux USA et en Australie, les produits dérivés de la franchise appartenant désormais à Disney ont également réussi à faire des recettes incroyables.
En effet, l’agence de presse londonienne Reuters indique que les jouets Star Wars 7 ont été vendus en 2015 à environ 700 millions de dollars tout en se payant le luxe de dépasser les produits dérivés de nombreux films comme Jurassic World, Avengers ou encore Les Minions. Ces fameux chiffres ne concernent que les USA bien qu’il faut noter que les produits estampillés Star Wars : Le Réveil de la Force sont commercialisés depuis septembre dernier (période du Force Friday).
Star Wars 7 : les ventes des jouets pourraient atteindre les 5 milliards
Avec des produits dérivés comme le robot BB-8, le sabre laser de Kylo Ren ou encore les maquettes du célèbre Faucon Millenium, il était évident que les ventes seraient évidement au rendez-vous mais pourtant ce n’est pas que ces produits qui sont la raison de ce succès. Depuis la sortie de Star Wars 7 dans nos salles obscures, les produits dérivés de Rey, la nouvelle héroïne de la franchise incarnée par Daisy Ridley, cartonnent au point que certaines éditions limitées soient déjà en rupture.
Paul Southern, directeur marketing, explique qu’il ne pensait pas que le personnage de Rey aurait eu un impact aussi important sur les ventes des produits dérivés : “Nous avions sous-estimé sa popularité. Rey a été immédiatement adorée par le public. Beaucoup plus que ce qu’on avait prédit“. D’ailleurs, les estimations prévoient des ventes pour les jouets Star Wars 7 qui pourraient atteindre les 5 milliards d’ici 2016.