Une première mise à jour pour DOOM
Mode photo, option pour les fans du jeu d'origines et autres corrections de bugs sont au programme de la première mise à jour de DOOM attendue sur toutes les plateformes le 30 juin.
Le dernier jeu DOOM est sorti le 13 mai dernier sur PC, PS4 et Xbox One. Malgré un état très correct du jeu à son lancement et notamment une optimisation excellente sur PC, il était temps qu’id Software et Bethesda proposent un premier patch pour corriger quelques inévitables bugs de jeunesse. Mais ce n’est pas tout puisque la mise à jour n°1, prévue pour le 30 juin partout, vient également apporter quelques fonctionnalités.
Quelques nouveautés et corrections bienvenues
Tout d’abord, on relèvera l’ajout d’un très tendance mode photo. Disponible dans le menu de pause une fois en mission, celui-ci devrait permettre de capturer les moments les plus fins et poétiques de vos affrontements contre les démons. Ensuite, les fans de la première heure apprécieront la possibilité, toujours dans les options, de choisir un placement différent à l’écran pour l’arme tenue par le joueur. Celle-ci peut ainsi être au centre de l’écran comme avant, plutôt que sur le côté.
Ensuite, outre des corrections de bugs et crashs variées pour le mode solo et le multijoueur, ce dernier profite d’un équilibrage des armes et de différentes modifications et améliorations (interface de personnalisation modifiée, option Style réticule ajouté aux options, améliorations du matchmaking…etc.). Même chose pour l’outil SnapMap, qui affiche par exemple le nom de l’auteur d’origine de la carte.
DOOM : un agréable retour aux sources
Enfin, un bug spécifique au PC (et qui a touché votre serviteur) a été corrigé. Désormais, activer les sauvegardes Steam cloud n’activera plus par erreur le mode Dev qui empêchait notamment de débloquer les succès.
Tous les changements sont disponibles sur cette page. Et pour accompagner votre lecture, impossible de ne pas vous recommander notre dernière chronique #OSTgasme dédiée à la folle bande son de DOOM composée par Mick Gordon.