L’addiction aux réseaux sociaux est une réalité, la preuve en vidéo
Les réseaux sociaux sont addictifs et une vidéo publiée par Maître Chat sur son compte YouTube explique la mécanique de cette addiction, comparable à celle du tabac.
Si vous êtes un internaute confirmé, vous savez qu’il est difficile de passer à côté des réseaux sociaux. Seulement selon une étude américaine de nombreux utilisateurs, notamment les plus jeunes, développeraient une réelle addiction aux réseaux sociaux. Une vidéo de Maitre Chat postée sur YouTube revient sur ce phénomène.
Peut-on être accro aux réseaux sociaux ?
A en croire une récente étude américaine et une vidéo française qui l’illustre, la réponse est oui, l’addiction aux réseaux sociaux est une réalité. Guetter les commentaires de ses amis sur Facebook, ajouter une photo sur son site Instagram, publier un tweet, etc., les raisons de flâner sur tous ces réseaux sociaux sont nombreuses.
Il est en outre aujourd’hui facile de rester connecter en permanence avec son smartphone. Cette vidéo révèle de 48% des personnes âgées de 18 à 34 ans consultent leur compte Facebook dès le réveil. Les internautes français passent, eux, en moyenne 1h45 par jour sur les réseaux sociaux. Bien que les consultations de ces pages web soient généralement courtes, elles sont répétées jusqu’à 14 fois par jour, un mécanisme d’addiction qui est comparable à celle du tabac par ses effets sur le cerveau.
Une dépendance qui génère du stress et de l’anxiété
Ainsi, comme l’explique la vidéo, les interactions des internautes sur les différents réseaux sociaux entrainent des réactions positives dans leur cerveau. Cette dépendance est encore accentuée par la réception de notifications qui sont considérées comme une récompense et motivent l’utilisateur à retourner sur ses sites préférés, un véritable cercle vicieux.
Un tel comportement n’est pas sans conséquence. En effet, l’abus de réseaux sociaux aurait un effet négatif sur l’humeur et le sommeil et peut entrainer du stress, de l’anxiété et même provoquer une dépression. Ces risques diminuent par le sevrage, alors il serait certainement profitable de savoir déconnecter de temps en temps.