Le retour d’Arnold Schwarzenegger dans Predator : trois intrigues incontournables pour la saga

Alors qu’Arnold Schwarzenegger pourrait revenir dans l’univers de Predator, la franchise suscite de nombreuses attentes. Plusieurs histoires essentielles restent à explorer pour renouveler la saga et satisfaire les fans en quête de nouveaux rebondissements captivants.

Un retour très attendu dans l’univers Predator

L’annonce du retour d’Arnold Schwarzenegger dans la saga Predator ne laisse aucun fan indifférent. En réalité, le personnage culte de Dutch Schaefer est déjà réapparu, d’une manière inattendue, à la fin du film d’anthologie Predator: Killer of Killers. On le découvre cryogénisé aux côtés de figures mythiques telles que le détective Mike Harrington (Danny Glover, issu de Predator 2) et Naru (Amber Midthunder, vue dans Prey). Ce clin d’œil ne doit rien au hasard : derrière cette résurgence se cache l’ambition de Dan Trachtenberg, architecte du renouveau de la franchise.

Cryo-prisonniers et tournoi mortel : les nouvelles règles du jeu

Dans ce nouvel arc narratif, le clan dissident des Yautja, connu sous le nom de Warlord’s Clan, kidnappe les guerriers ayant triomphé lors des chasses pour les garder en cryostase. Un procédé déjà évoqué avec Ursa, une Viking du IXe siècle, et désormais élargi à Dutch ou Harrington. L’idée est simple : ces « trophées humains » sont réservés pour des tournois ou événements particuliers. Cela amène une question centrale : comment Dutch a-t-il été capturé après avoir survécu traumatisé à sa première confrontation ? Avait-il été libéré pour combattre à nouveau, comme Ursa, ou son enlèvement s’est-il produit dans l’ombre d’une paranoïa constante ?

Crossover ambitieux et perspectives inédites pour la saga

Le succès récent de la franchise – dopée par le format anthologique et les croisements entre époques – laisse présager un projet bien plus vaste qu’un simple remake façon Aliens vs. Predator. La structure narrative permettrait non seulement de réunir des personnages cultes issus de plusieurs générations, mais aussi de multiplier les voix connues grâce à l’animation. De quoi imaginer sans peine un grand événement où s’affronteraient guerriers légendaires, Xénomorphes et technologies futuristes issues de la société Weyland-Yutani. La formule fait rêver : batailles épiques sur une planète étrangère ou révolte des prisonniers cryogénisés.

Voici quelques pistes majeures qui pourraient être explorées :

• Tournements inter-temps réunissant survivants emblématiques.
• Batailles contre différentes factions Yautja et Xénomorphes.
• Mise en valeur des anciennes gloires via animation et doublage original.

L’enjeu technique du retour des icônes vieillissantes

Un défi technique demeure : représenter à l’écran ces héros tels qu’ils étaient dans les années 80-90. Si certains blockbusters comme Terminator ont osé le rajeunissement numérique – ou envisagé un retour digitalisé de figures telles que Ripley (Sigourney Weaver) pour l’épisode avorté d’Alien 5, il n’est pas exclu que la solution vienne cette fois encore du cinéma d’animation. Reste à voir si ce pari séduira autant qu’il intrigue aujourd’hui.

L’avenir de Predator, désormais solidement relancé par Trachtenberg, semble plus ouvert que jamais… Et c’est probablement cela qui électrise autant sa communauté.