Comment Arnold Schwarzenegger a rejoint Predator: Killer Of Killers après la sortie du film

Image d'illustration. Predator Killer of Killers20th Century Studios / PR-ADN
Après la sortie de Predator : Killer Of Killers, l’équipe du film a choisi d’intégrer Arnold Schwarzenegger, figure emblématique de la franchise. Ce choix postérieur visait à renforcer le lien avec les origines et à satisfaire les attentes des fans.
Tl;dr
- Une scène inédite change la fin de « Predator: Killer of Killers ».
- Mike Harrigan et Dutch apparaissent dans cette version étendue.
- Le retour des anciens héros est désormais envisageable.
Un final inédit bouscule l’univers Predator
La science-fiction aime parfois se réinventer, et certains films en profitent pour enrichir leur récit grâce à des scènes coupées. C’est précisément ce qui s’est passé avec la sortie tardive d’une nouvelle fin pour Predator: Killer of Killers, orchestrée discrètement par le réalisateur Dan Trachtenberg. Quelques semaines après une première diffusion déjà saluée sur Hulu, un épilogue étendu a vu le jour, bouleversant la perception des spectateurs.
Des apparitions inattendues ravivent la saga
Au cœur de cette version alternative, une séquence modifie considérablement la dynamique du film : alors que le corps survivant d’Ursa regagne sa cellule cryogénique, un vaste panorama dévoile des milliers d’humains – et même quelques créatures – plongés dans l’animation suspendue. Parmi eux surgissent deux figures mythiques : Lieutenant Mike Harrigan, interprété par Danny Glover, et surtout Major Alan « Dutch » Schaefer, incarné par Arnold Schwarzenegger. Leur présence rejoint celle de Naru (Amber Midthunder, issue de « Prey »), étoffant ainsi un casting intergénérationnel.
Coulisses d’une décision tardive
Pourtant, ces apparitions n’étaient pas garanties à la sortie initiale du film. Le cinéaste a confié à SFX Magazine que la scène existait bien, entièrement animée, mais les droits d’exploitation concernant ces deux personnages n’avaient pas encore été validés : « It was made, and the deals were not done », précise-t-il. Lorsque les accords ont finalement été conclus, une question s’est posée quant à sa diffusion. L’idée d’un dévoilement lors du Comic Con a alors émergé, symbolisant l’intérêt stratégique porté à ces caméos.
L’avenir du Predator-verse en suspens
Difficile pour l’instant de savoir si cette ouverture permettra un véritable retour de Schwarzenegger ou d’autres survivants emblématiques. Interrogé sur le sujet, Trachtenberg reste énigmatique : « I do not know. I don’t know yet ». Une chose semble acquise : avec ce nouvel épilogue, toutes les hypothèses deviennent plausibles. La saga offre désormais la possibilité de réunir — en animation ou en prises de vues réelles — les plus célèbres adversaires du Yautja. D’autant que Trachtenberg ne cache pas son goût pour les croisements audacieux ; il pourrait bien un jour orchestrer un choc inattendu entre Predator et Xenomorphes.
Pour les amateurs du genre comme pour les néophytes curieux, ce prolongement scénaristique offre trois pistes alléchantes :
- Réunions intergénérationnelles entre survivants légendaires ;
- Nouveaux ponts possibles avec la franchise « Alien » ;
- Avenir ouvert à tous les dénouements spectaculaires.
Un simple ajout… qui pourrait tout changer dans l’univers du chasseur ultime.