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Une icône du cinéma d’horreur indépendant s’invite dans Good Boy avec une apparition glaçante

Pop Culture > Films > Horreur > Good Boy
Par Morgan Fromentin,  publié le 6 octobre 2025 à 19h00.
Pop Culture
Good Boy

Image d'illustration. Good BoyWhat's Wrong With Your Dog? / PR-ADN

Dans le film "Good Boy", un visage bien connu des amateurs de films d’horreur indépendants fait une apparition discrète mais marquante, offrant aux fans du genre un clin d’œil savoureux au sein de cette nouvelle production angoissante.

Tl;dr

  • « Good Boy » : film d’horreur vu par un chien.
  • Larry Fessenden, caméo marquant et figure du genre.
  • Ses œuvres saluées par Guillermo del Toro, Kusama.

Un film d’horreur original sous le regard d’un chien

Quand Ben Leonberg et Alex Cannon décident de raconter l’histoire de « Good Boy », ils renversent les codes : ici, tout est vu à travers les yeux attendrissants d’Indy, un chien dont la vulnérabilité happe d’emblée le spectateur. Rapidement, l’inquiétude se porte moins sur le destin des humains que sur celui de ce compagnon à quatre pattes. Certaines séquences, particulièrement éprouvantes pour les amis des animaux, relèguent presque au second plan les personnages incarnés par Shane Jensen (Todd) et Arielle Friedman (Vera).

Larry Fessenden, caméo glaçant et parcours singulier

Au cœur de cette maison hantée, un visage familier surgit : celui de Larry Fessenden. Connu pour ses rôles troublants dans l’horreur indépendante américaine, il incarne ici le grand-père décédé de Todd et Vera. Après quelques apparitions dans d’émouvantes vidéos familiales, son retour en spectre — scène impressionnante où il crache du sang devant Indy — marque une rupture anxiogène. Cette performance sans concession ne surprendra pas les amateurs de frissons signés Fessenden.

Un acteur-réalisateur respecté bien au-delà du genre

Derrière ce nom se cache une personnalité respectée à Hollywood. S’il s’est forgé une réputation solide aux côtés de maîtres comme Ti West (« MaXXXine ») ou Jim Mickle (« Stake Land »), Larry Fessenden a également travaillé avec des géants tels que Martin Scorsese, qui l’a fait jouer dans « Bringing Out the Dead » et « Killers of the Flower Moon ». Mais c’est aussi un créateur complet : scénariste et réalisateur reconnu.

Voici quelques cinéastes majeurs qui admirent ouvertement son travail :

  • Karyn Kusama, réalisatrice de « Jennifer’s Body », cite le film culte « Habit » parmi ses références majeures pour sa capacité à mêler subtilement métaphores sociales et terreur viscérale.
  • Guillermo del Toro, auteur notamment de « Frankenstein », considère Fessenden comme un maître – au point d’avoir envisagé sérieusement de lui confier la réalisation d’un remake de « The Orphanage ».

Derrière la caméra ou devant, toujours l’effroi

De « Habit » à « Wendigo », en passant par « Blackout », la filmographie réalisée par Fessenden regorge de pépites confidentielles qui n’attendent qu’à être redécouvertes. Si son apparition dans « Good Boy » rappelle combien il peut être terrifiant à l’écran, sa maîtrise narrative derrière la caméra confirme qu’il demeure l’un des artisans essentiels du cinéma d’horreur indépendant contemporain.

Le Récap
  • Tl;dr
  • Un film d’horreur original sous le regard d’un chien
  • Larry Fessenden, caméo glaçant et parcours singulier
  • Un acteur-réalisateur respecté bien au-delà du genre
  • Derrière la caméra ou devant, toujours l’effroi
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