Disney promet une année 2025 palpitante avec la sortie très attendue du prochain Predator

Image d'illustration. The PredatorDavis Entertainment / PR-ADN
L'année 2025 s’annonce exceptionnelle pour Disney, qui prévoit une série de sorties majeures. Parmi elles, le prochain volet de la saga Predator attire particulièrement l’attention, porté par la dynamique impressionnante du studio pour cette nouvelle vague cinématographique.
Tl;dr
- Trachtenberg innove avec Predator: Badlands.
- L’univers Alien/Predator évolue vers l’inattendu.
- Fans espèrent des retours de personnages emblématiques.
Un nouvel élan pour l’univers Predator
L’arrivée prochaine de Predator: Badlands, attendue en salles le 7 novembre, suscite déjà un enthousiasme palpable chez les amateurs de science-fiction. Après le succès critique de Prey, Dan Trachtenberg revient aux commandes avec une promesse claire : surprendre. Le réalisateur, déjà salué pour son approche rafraîchissante des Yautja, semble bien décidé à réinventer la franchise sans céder à la facilité du déjà-vu. Cette fois, il s’agit moins d’un retour dans le passé que d’une relecture des codes : ce que l’on prenait jadis pour un simple prédateur pourrait se révéler sous un jour inattendu.
L’héritage Alien et la mutation des menaces
Le rapprochement avec l’univers Alien n’est plus à démontrer. Dès ses premières bandes-annonces, Badlands affiche ses ambitions : croiser les mythologies tout en bousculant les repères. Il faut dire que la série FX Alien: Earth a récemment ouvert la voie à une évolution narrative : désormais, les Xénomorphes ne sont plus systématiquement au cœur du danger. De nouveaux monstres prennent le relais – on pense notamment à la créature Trypanohyncha Ocellus ou encore aux menaces végétales inédites – prouvant ainsi que l’ADN des franchises sait se renouveler.
Continuité, surprises et attentes autour des personnages cultes
Pour ne rien arranger au suspense, certains éléments de l’intrigue révèlent déjà des ponts inédits entre ces deux univers majeurs. La confirmation qu’Elle Fanning, alias Thia, incarne une synthétique Weyland-Yutani laisse augurer d’une intégration poussée avec la mythologie commune des deux sagas. Les liens sont anciens : dès Predator 2, un crâne de Xénomorphe trônait comme trophée dans le vaisseau Yautja. Mais il faut bien reconnaître que les précédents croisements cinématographiques – pensons aux films Alien vs. Predator – ont laissé un goût amer à une large partie du public.
Aujourd’hui pourtant, beaucoup espèrent un vrai renouveau sous la houlette de Trachtenberg, d’autant que le récent film d’animation Killer of Killers, désormais canonique, a su séduire même les plus sceptiques grâce à ses vignettes centrées sur plusieurs héros et son approche narrative innovante.
Voici ce qui attise particulièrement la curiosité :
- L’espoir du retour en live action de figures comme Naru (Prey) ou Dutch Schaefer (Predator) alimente les spéculations.
- L’intégration discrète mais assumée de l’univers Weyland-Yutani suscite d’intenses attentes sur l’évolution future du récit.
L’art de la relance narrative selon Trachtenberg
Tout repose sur cette capacité à surprendre sans perdre l’essence des franchises. Si certains redoutent un énième « crossover » mal maîtrisé, d’autres voient dans cette nouvelle orientation le souffle dont avait besoin une saga parfois enfermée dans ses propres codes. Pour nombre de fans, c’est justement ce subtil équilibre entre fidélité et audace qui rendra ce prochain opus incontournable… ou non. Les paris sont lancés : la chasse est (de nouveau) ouverte.