#OSTgasme DOOM DOOM DOOM DOOM, I want you in my room

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Par Antoine Roche,  publié le 20 juin 2016 à 10h00.

Après le calme du dernier #OSTgasme traitant de Journey, allons concrètement à l'opposé du spectre avec celle de DOOM.

Le saviez-vous (si c’est le cas c’est un peu flippant) : l’auteur des lignes que vous êtes en train de lire est actuellement sur le trajet du retour du Hellfest. Une situation plus qu’adaptée pour le #OSTgasme de ce lundi puisque nous allons parler de la bande-son très métal de DOOM. Derrière l’OST de ce reboot plutôt réussi, on retrouve le compositeur Mick Gordon. Ce nom vous dit probablement quelque chose puisque c’est à lui que l’on doit également les musiques de jeux comme les deux derniers Wolfenstein, Killer Instinct, plusieurs Need for Speed ou encore ShootMania Storm.

Au moment où nous rédigeons notre chronique la bande-son de DOOM n’est malheureusement pas disponible à l’achat et il n’est pas impossible que Bethesda fasse supprimer les vidéos YouTube utilisées ci-dessous.

Mick Gordon – Title Theme

Démarrons les hostilités (littéralement) avec le thème principal de de DOOM version 2016. Et si déjà vous trouvez ce morceau trop violent, vous pouvez tout de suite fermer cette page.

Mick Gordon – Ultraviolence

Pourquoi s’ennuyer à trouver des titres de chanson aux références que personne ne comprendra alors qu’après tout autant aller à l’essentiel ? Voici donc venir “Ultraviolence”.

Mick Gordon – Flesh & Metal

DOOM me rappelle régulièrement Painkiller par son gameplay nerveux, mais il est certain que la musique y est aussi pour quelque chose. D’ailleurs si vous voulez toujours plus de métal : #OSTgasme Painkiller et sa bande-son démoniaque

Mick Gordon – BFG Division

“BFG Division” est sans aucune hésitation ma piste préférée de l’OST. Durant ses 9 minutes elle alterne parfaitement les phases calmes et les phases d’ultra violence qui font secouer la tête et empêche presque de jouer correctement.

Mick Gordon – Rip & Tear

Terminons avec une piste dont le nom est à peu près aussi fin que son rythme : “Rip & Tear”. En un mot comme en cent : ça tape.