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James Gunn plaide pour un recours maximal aux effets pratiques dans les films et séries DC

Pop Culture > Films > James Gunn > DC
Par Morgan Fromentin,  publié le 4 novembre 2025 à 13h00.
Pop Culture
DC Universe

Image d'illustration. DC UniverseDC Comics / PR-ADN

James Gunn encourage une utilisation accrue des effets pratiques dans les films et séries DC. Le réalisateur souhaite privilégier ces techniques traditionnelles pour renforcer l’authenticité visuelle et l’immersion du public, tout en préservant une certaine cohérence artistique.

Tl;dr

  • James Gunn privilégie les effets pratiques pour le DCU.
  • « Clayface » adopte une approche horrifique inédite.
  • Le pari du renouveau DC reste risqué et atypique.

Des choix audacieux pour relancer le DC Universe

Avec la disparition officielle du DC Extended Universe, la page se tourne définitivement chez Warner Bros. et DC Studios. Pourtant, difficile d’y voir un simple effacement : si l’ère actuelle porte désormais le nom de DC Universe, elle hérite encore de nombreuses traces de son prédécesseur. Un positionnement qui suscite, il faut bien l’admettre, quelques interrogations sur la clarté de la relance opérée par James Gunn, co-directeur du studio. Mais le cinéaste, connu pour ses franchises à succès et son goût prononcé pour l’expérimentation visuelle, semble déterminé à surprendre là où on ne l’attend pas.

L’audace des effets pratiques : un pari assumé

L’un des partis pris marquants de ce nouveau chapitre réside dans le retour aux effets spéciaux pratiques. Cette orientation, défendue avec conviction par James Gunn, surprend d’autant plus que l’homme s’est illustré dans certains des films de super-héros les plus saturés en images de synthèse. « C’est toujours plus beau quand c’est pratique qu’en CGI », confie-t-il sans détour lors d’un récent passage dans le podcast Phase Hero. Cette philosophie s’incarne pleinement dans la prochaine adaptation cinématographique de « Clayface ». Prévue pour fin 2026 sous la houlette de Mike Flanagan et James Watkins, cette relecture horrifique d’un adversaire méconnu de Batman compte bien repousser les limites du body horror au sein du genre super-héroïque.

Nouvelles directions, nouveaux risques

Le choix des premiers titres pour bâtir ce nouvel univers ne laisse personne indifférent. Après un « Superman » plutôt fédérateur, les projets à venir – « Creature Commandos », une seconde saison pour « Peacemaker », suivis de « Supergirl » et donc « Clayface » – tranchent nettement avec les stratégies traditionnelles visant à rassembler un large public. Ce calendrier donne davantage l’impression d’une offre pensée pour les fans avertis que d’une conquête massive des spectateurs. Certains analystes s’interrogent déjà : s’agit-il d’une vision éclairée ou d’un saut périlleux qui pourrait coûter cher à l’ensemble du projet ?

L’avenir du DCU entre attentes et curiosité

Concrètement, ce virage vers le film d’horreur – un genre qui connaît ces dernières années une étonnante vitalité au box-office – intrigue autant qu’il divise. L’équipe créative mise sur des procédés artisanaux coûteux, mais jugés plus efficaces visuellement que le tout-numérique. Comme le souligne Gunn, pourquoi investir des « centaines de milliers de dollars dans des CGI quand l’effet réel fonctionne mieux ? ». Une logique qui implique aussi un rapport décomplexé aux fuites potentielles liées aux maquillages spectaculaires sur les plateaux : selon lui, cela n’affectera pas la performance en salle.

Si beaucoup voient dans cette feuille de route une prise de risque majeure après une série d’échecs commerciaux notoires autour de personnages secondaires, impossible pourtant de nier que la promesse a quelque chose de rafraîchissant. Si cette recette singulière venait à séduire au-delà du cercle des initiés, elle pourrait bien marquer une véritable renaissance pour le nouvel univers cinématographique DC.

Le Récap
  • Tl;dr
  • Des choix audacieux pour relancer le DC Universe
  • L’audace des effets pratiques : un pari assumé
  • Nouvelles directions, nouveaux risques
  • L’avenir du DCU entre attentes et curiosité
En savoir plus
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