Le comparateur d’assurance auto de Google est suspendu temporairement
Google diversifiait ses prestations cet été en proposant un comparateur d’assurance auto.
Il y a quelques mois, Google proposait sur le sol français un comparateur d’assurance auto. Ce dernier était gratuit et mis en place avec plusieurs partenaires (4Assur, Allsecur, AcommeAssure, Aloa Assurances, Active Assurances, Sos Malus). En renseignant les informations liées à son véhicule, Google comparait les devis gratuitement et proposait à l’internaute la meilleure offre. Ce concept déjà disponible en Grande-Bretagne et en Allemagne est abandonné sur le sol français. Après trois mois d’existence, le comparateur ferme donc ses portes et les partenaires ont été stupéfaits par cette annonce. Ces derniers auraient reçu un courrier à la fin du mois d’octobre selon l’Argus.
Les partenaires surpris par la décision
Google explique ce retrait par un choix stratégique, la firme de Mountain View préfère se concentrer sur le développement dans les pays anglo-saxons. La société aurait pris cette décision sans prendre l’avis des partenaires qui avaient investi du temps et surtout de l’argent dans ce projet. Toutefois, ce projet ne faisait pas l’unanimité sur Internet notamment auprès des sites qui comparent les tarifs pour les internautes. Ainsi, Google devait faire peur aux comparateurs d’assurances comme nos amis de Toto Assur, LeLynx ou encore LesFurets. Avec la multiplication des offres sur la toile, les conducteurs ont de plus en plus recours aux comparateurs.
Pourquoi Google se retire-t-il ?
Ces sites permettent de trouver facilement une compagnie d’assurance qui répond à leurs demandes. Google avec sa force de frappe sur Internet aurait pu susciter un réel engouement dans ce domaine. D’autres raisons seraient à l’origine de ce retrait qui est selon Mountain View temporaire. La Commission européenne vise à interdire l’abus de position dominante, elle pourrait donc être à l’origine de cette fermeture. D’autres estiment que les assureurs ont réussi à faire pression et à contraindre Google de se retirer. Enfin, cet échec pourrait aussi être expliqué par le manque d’ergonomie du site et un concept inadapté au marché français.
Assurance auto : obligatoire mais à bon prix, comment faire ?
Une assurance auto est obligatoire au nom de la Loi. En effet, avoir une assurance auto est essentiel pour les Français. D’une part pour des raisons de sécurité et de protection du véhicule. S’il existe deux formats avec une assurance au tiers et tous risques, les Français ont deux couvertures inégales.
La couverture au tiers partage les frais entre l’automobiliste et l’assurance auto. En outre, l’assuré est couvert à peine à un tiers des montants de réparation.
C’est tout le contraire pour l’assurance tous risques. En l’occurrence, il n’y a que la franchise à débourser selon les cas. Mais avant de s’emballer pour une assurance auto au tiers ou tous risques, les Français ont une solution. Le comparateur lesfurets.com propose un tableau très complet sur toutes les assurances auto françaises.
Ainsi, lesfurets.com proposent une analyse complète et indépendante de toutes les offres d’assurance auto présentes sur le marché. Il faut savoir que la comparaison des prix en fonction de l’offre est devenue nécessaire. Il est vrai que le format de l’assurance auto en France reste très encadré.
Mais, pour faire des économies, tout en ayant une couverture auto digne, la comparaison devient indispensable. En effet, avec un écart de quelques euros, il y a souvent la même offre avec la même couverture. Et avec l’aide du comparateur en assurance auto, les Français économisent quelques euros par mois et des dizaines par an. Tout en ayant une assurance auto de qualité.
C’est pourquoi, l’assurance auto souscrite avec le comparateur les furets.com sont gagnants sur la qualité du service et le prix. Ainsi, l’entretien et la couverture auto coûtent moins cher. Tout en restant en position de force pour renégocier son tarif assurance auto au bout d’un an avec la Loi Hamon. Elle permet de changer de compagnie en cas d’insatisfaction.