Star Wars 7 : “le plus grand film de tous les temps” selon Steven Spielberg
Le cinéaste américain Steven Spielberg a récemment confié qu'il admirait la franchise Star Wars et pense d'ailleurs que le prochain film réalisé par J.J. Abrams va connaître un succès dépassant l'entendement.
A l’occasion de la récente sortie en salles du Pont des Espions, le vingt-huitième film de Steven Spielberg, le média français RTL a eu la chance d’avoir une entrevue avec le célèbre cinéaste américain. Si l’interview se concentre principalement sur la thématique de la guerre, qui est récurrente chez les films de Spielberg, ainsi que l’acteur Tom Hanks, le réalisateur confie être un grand passionné de Star Wars tout en regrettant ne pas avoir pu réaliser un film de la franchise : “J’adore Star Wars, je suis fan, pourtant je ne pense pas que les étoiles aient décidé que j’allais en faire un avant la fin de ma carrière. Il est écrit en revanche que j’admire chacun des nouveaux épisodes de Star Wars.”
Steven Spielberg se permet d’ailleurs de finir l’interview accordée à RTL en indiquant que Star Wars 7 devrait être être l’un des plus grand succès de l’histoire du cinéma : “Je pense que ce nouvel épisode Star Wars : Le Réveil de la Force pourrait fort bien être le plus grand film de tous les temps.”
Les influences de J.J. Abrams pour Star Wars 7
Pour réaliser Star Wars 7, J.J. Abrams s’est inspiré de trois films considérés comme des monuments du cinéma classique et contemporain. Ces influences ont d’ailleurs fait l’objet d’un article dans le magazine britannique Empire et voici donc un extrait de ce dernier relayé par Star Wars News Net : “Avant de commencer la réalisation de Star Wars : Le Réveil de La Force, Abrams s’est intéressé à ‘la confiance’ des westerns de John Ford. Il a emprunté ‘l’incroyable chorégraphie et composition’ d’une scène du film Entre le ciel et l’enfer, d’Akira Kurosawa. Et il a aussi étudié ‘le puissant silence’ des films de Terrence Malick. L’univers visuel de Ford, Kurosawa et Malick laisse suggérer que la clé de l’approche du réalisateur serait la qualité minimaliste de l’épisode 7, le différenciant des premiers Star Wars.“