#OSTgasme King Arthur : Legend of the Sword : le Graal musical est là
Assurément l'un des meilleurs points du film, l'OST de King Arthur : Legend of the Sword par Daniel Pemberton mérite d'être écoutée et accompagnée en rythme avec tous vos membres.
En mai dernier sortait King Arthur : Legend of the Sword au cinéma, une interprétation atypique de la légende arthurienne par Guy Ritchie. Comme d’habitude dans notre chronique #OSTgasme, nous ne sommes pas là pour débattre de l’oeuvre en elle-même (même si nous avons trouvé le film assez honnête soit dit en passant), mais de la musique qui l’accompagne. Et quelle musique.
Signée Daniel Pemberton (Steve Jobs, Little Big Planet…), la bande-son du long-métrage est un festival de percussions, de sonorités originales et de moments marquants qui viennent sublimer de nombreuses scènes du film avec l’art et la manière. Voici une petite sélection parmi les 32 pistes de l’album.
Daniel Pemberton – King Arthur : Legend of the Sword
Démarrons simplement par la piste qui reprend le titre du film. Peut-être pas la plus originale de l’album, cette piste reste efficace et demeure une bonne porte d’entrée pour le reste.
Daniel Pemberton – Seasoned Oak
Passons à « Seasoned Oak », ses percussions et ses nombreux instruments à cordes aux sonorités souvent dissonantes qui donnent un résultat final original et plein de personnalité.
Daniel Pemberton – The Born King
Parce qu’il y a aussi des pistes plus calmes de qualité dans l’OST de King Arthur, impossible de ne pas retenir « The Born King ».
Daniel Pemberton – Run Londinium
Variante plus longue de l’excellente piste « Growing Up Londinium », « Run Londinium » avec ses changements de rythme, ses percussions et ses cordes énervées et ses bruits d’essoufflement accompagne à la perfection l’une des excellentes scènes de course-poursuite du film. Assurément dans nos morceaux préférés.
Daniel Pemberton – The Devil and the Huntsman
Accompagné sur cette piste par le chanteur et musicien Sam Lee, Daniel Pemberton permet à Guy Ritchie grâce à « The Devil and the Huntsman » de délivrer l’une des meilleures scènes du film. Difficile de trouver un morceau plus intense que celui-ci en 2017.