Microsoft laisse entendre que Call of Duty sera disponible sur PlayStation pour toujours
Phil Spencer veut garder Call of Duty sur PlayStation tant que PlayStation existera en tant que plateforme de jeu.
Il y a quelques mois, le patron de Sony PlayStation, Jim Ryan, déclarait que la promesse de Microsoft de supporter Call of Duty sur PlayStation pendant trois années supplémentaires était “inadéquate à plusieurs niveaux”. Aujourd’hui, dans le cadre du podcast gaming SameBrain, le grand manitou Xbox, Phil Spencer, semble vouloir étendre cette prise en charge indéfiniment, ou tout du moins aussi longtemps que PlayStation existe en tant que plateforme.
Phil Spencer veut garder Call of Duty sur PlayStation
“Nous n’allons pas retirer Call of Duty de la PlayStation”, déclare-t-il. “Nous n’avons pas l’intention de faire cela, et tant qu’il y aura une PlayStation sur laquelle distribuer les jeux, nous avons l’intention de continuer à proposer Call of Duty sur PlayStation, comme nous l’avons fait avec Minecraft depuis que nous l’avons racheté.”
“Nous avons étendu les supports sur lesquels les gens peuvent jouer à Minecraft, nous ne les avons pas réduits, et tout s’est bien passé. Cela a fait du bien à la communauté Minecraft – à mon avis – et je compte faire la même chose en ce qui concerne la direction vers laquelle peut aller Call of Duty avec les années à venir.”
Tant que PlayStation existera en tant que plateforme de jeu
Phil Spencer a fait ces commentaires alors que la Competition and Markets Authority (CMA) du Royaume-Uni a lancé une “enquête de Phase 2” au sujet de la proposition de rachat d’Activision de 69 milliards de dollars par Microsoft. L’une des raisons citées est la crainte que le géant américain pourrait restreindre Call of Duty sur les consoles PlayStation. En réponse, la firme de Redmond avait accusé le régulateur britannique de prendre spécifiquement en compte les réclamations de Sony dans son enquête initiale. Malgré cela, Phil Spencer déclarait que Microsoft restait confiant quant au fait de voir cet accord être approuvé avant la fin de l’année fiscale, en juin 2023. À suivre !