Exoplanètes : Un environnement favorable à la vie sur 60 milliards de planètes
Des planètes habitables pourraient être nombreuses dans notre galaxie. 60 milliards offriraient un environnement favorable.
La recherche de vie extraterrestre continue et devrait être intensifiée après la publication des travaux de l’Université de Chicago. Les scientifiques ne rejoignent pas l’avis des précédentes études. En observant la couverture nuageuse, ils sont en mesure d’indiquer que le nombre de planètes habitables est en réalité doublé et donc porté à 60 milliards. Plusieurs enseignements ont été tirés d’après certaines connaissances. Pour que la vie se développe sur une planète, il faut notamment de l’eau. Lorsque cet élément est disponible à la surface d’une planète, une couverture nuageuse se propage. Cette dernière permettrait à la planète de se refroidir ou de se réchauffer tout en ayant un environnement favorable au développement de la vie.
La couverture nuageuse d’une planète
Pour obtenir cette information, les scientifiques ont utilisé les données de Kepler. Grâce à la nouvelle méthode de la couverture nuageuse, ils estiment que deux planètes semblables à la Terre devraient être positionnées dans la zone habitable de chaque naine rouge contre une Terre selon les précédentes études. Les chercheurs de l’Université de Chicago ont combiné leur savoir avec celui de l’Université de Northwestern. Ensemble, ils ont mis au point un simulateur 3D capable de détecter les planètes potentiellement habitables dans notre galaxie. Les résultats ont ensuite été publiés dans l’Astrophysical Journal Letters. Cette découverte relance ainsi la recherche d’une vie extraterrestre. Les Humains tentent de découvrir sur d’autres planètes si une forme de vie peut se développer.
Hubble remplacé en 2018
Pourquoi la Terre serait-elle la seule à accueillir des êtres vivants ? C’est en partant de cette question que les scientifiques et les différents organismes tentent de concevoir des appareils. La recherche sera prochainement renforcée grâce à la mise en service du télescope spatial James Webb. JWST prendra le relais en 2018 et succédera donc au télescope spatial Hubble. Il n’observera pas comme ce dernier dans le spectre lumineux dans l’ultraviolet, mais dans l’infrarouge. Pendant 6 mois, il devra subir une phase de test après avoir décollé à bord d’une Ariane 5 ECA depuis le centre de Kourou.