En ce qui concerne le style du Motorola RAZR, qu’il appartient à chacun d’évaluer en fonction de “ses goûts et couleurs“, nous le trouvons plutôt classieux, avec un dos élégant, qui rappellerait presque une pièce de maroquinerie, et une façade avant vitrée sombre et sobre (peut être un peu trop). Sa taille et minceur impressionnantes associées à des contours anguleux peuvent cependant poser des problèmes de prise en main.
Il est équipé d’un écran 4,3“ en verre protégé par un Corning Gorilla, réputé pour sa résistance aux chocs et rayures qui laisse systématiquement des empreintes comme bien souvent et surtout si vous êtes du genre à grignoter sur le pouce. Rien de choquant à ce niveau là, même si son contact est moins agréable et fluide que le verre fortifié utilisé par le concurrent Samsung Galaxy Nexus. Pour autant il s’agit à titre de comparaison du même verre utilisé pour le Galaxy SII. Il s’agit donc d’une bonne cuvée.
Avec 4 boutons capacitifs (liste, home, retour et recherche) et une bordure latérale de 5mm et d’1,5cm en hauteur, le Droid RAZR est plutôt imposant : 13 x 6,9cm.
L’emplacement en relief du capteur 8 mégapixels et du haut parleur contraste légèrement avec la finesse exceptionnelle de l’appareil : 1 cm d’épaisseur, contre 7mm, qui permettent à l’usage une meilleure prise en main lors des appels notamment en rompant avec l’aspect lisse et monobloc de l’appareil.
Ce même emplacement en relief accueille les prises micro USB/ HDMI et la prise casque.
Vous trouverez sur la tranche droite les 3 boutons poussoirs : le bouton d’alimentation au dessus d’un duo de boutons de contrôle du volume. 3 boutons tellement discrets, en termes d’épaisseur, qu’ils nous font parfois douter qu’on ait bien appuyé dessus.
Les slots micro SIM/SD se trouvent sur la tranche droite, dissimulés par un rabat. Emplacements discret et plutôt pratique pour les utilisateurs qui auraient à changer régulièrement de cartes.