Taken : l’adaptation en série sera “un croisement entre 24 Heures Chrono et Homeland”

Prévue pour le début de l'année 2017 sur NBC, la série télévisée Taken s'annonce comme un mix de 24 Heures Chrono et Homeland tout en étant un préquel se penchant sur les origines du héros de la trilogie qui avait été diffusée au cinéma.

Annoncé officiellement depuis quelques semaines maintenant, c’est donc l’acteur Clive Standen (Rollo dans Vikings) qui incarnera la version jeune de l’agent Bryan Mills (personnage incarné par Liam Neeson au cinéma) dans la série Taken écrite par Alex Cary (Homeland) et qui sera diffusée dès l’année prochaine sur le network américain NBC via un épisode pilote réalisé par Alex Graves (Game of Thrones).

Si le comédien qui s’est fait connaître dans Vikings avoue ne pas avoir la pression, il indique dans une récente interview avoir rencontré Liam Neeson pour parler du personnage Bryan Mills : “On a parlé du personnage. Il m’a dit que Bryan était juste un être humain normal et qu’il fallait garder ça et ne pas en faire un homme d’action, genre un Jason Statham dans Le Transporteur. C’est à l’opposé à ce que nous essayons de faire. Et puis il m’a dit de m’approprier le personnage. Parce que ce n’est pas encore un agent de la CIA affiné. C’est un diamant brut.”

24 Heures Chrono et Homeland, les influences de la série télévisée Taken

Toujours dans le cadre d’une entrevue, Clive Standen explique que l’adaptation de Taken en série est “un drama très intelligent, qu’on peut décrire comme un croisement entre 24 heures chrono et Homeland. Il a un rythme plus rapide que Homeland, mais il est tout aussi intense“. Il poursuit en indiquant que “ce qui est si super avec cette série Taken, c’est que Bryan Mills n’a pas de super-pouvoirs. Ce n’est pas non plus Jason Bourne, ni James Bond. Il n’est pas le mec cool avec de bonnes répliques. Quelque chose de vraiment traumatisant et tragique est arrivé à sa famille et Bryan part en mission solo, comme dans le film, pour remettre les choses à leur place. C’est un boulet de démolition solitaire. Il n’a pas encore acquis ses compétences particulières, mais il a ce désir de protéger. Alors qu’il est à deux doigts de l’auto-destruction, la CIA le trouve et réussit à le façonner, mais aussi à l’exploiter.“