Star Wars : Jar Jar Binks serait en fait le vrai méchant de la saga
Jar Jar Binks n'est pas l’idiot que l’on pense et serait en réalité le vrai méchant de la saga Star Wars selon la théorie d’un utilisateur de Reddit.
En attendant la sortie de Star Wars VII : Le Réveil de la Force, les fans de la saga cherchent à combler les quelques semaines qui nous séparent de la sortie en salle du premier volet produit par Disney. Le « Redditeur » Lumpawarroo devait vraiment s’ennuyer ferme pour nous pondre cette théorie hallucinante qui veut que Jar Jar Binks soit en fait bien plus que le simple personnage idiot que tous les fans de la première trilogie aiment détester.
Jar Jar Binks : le méchant de l’histoire
Pour élaborer sa théorie, Lumpawarroo a étudié de très près la moindre apparition du Gungan le plus maladroit de sa peuplade pour en déduire que ce dernier cachait en fait parfaitement son jeu et serait finalement bien moins empoté qu’il n’y paraît et serait même le grand méchant de l’histoire.
Tout d’abord, la maladresse de Jar Jar Binks ne serait en fait qu’une façade qui lui permettrait de cacher ses compétences hors normes. Entre son triple salto lors de son plongeon pour rejoindre sa cité ou la façon dont il se débarrasse des droïdes en pleine bataille avec le corps d’un de ses derniers raccroché à son pied serait en fait totalement maîtrisé de la part de Jar Jar. Mais c’est surtout dans la manipulation mentale que l’idiot bavard de la prélogie serait très fort.
Manipulation mentale à la solde de Palpatine
Pour Lumpawarroo, le fait que Jar Jar Binks passe du statut de paria à celui de général Bombad viendrait du fait que ce dernier ait manipulé son chef Nass grâce à la force. Sa manière de convaincre le Sénat de donner les pleins pouvoirs au Chancelier Palpatine serait là encore une preuve de sa capacité à manipuler les esprits.
« Étant donné tout cela, je conclurai en expliquant pourquoi je crois qu’il est non seulement possible, mais quasi certain, que Jar Jar va avoir un profond impact sur les prochains films et quel rôle il pourrait y jouer. » conclut Lumpawarroo à la fin de sa thèse.