#OSTgasme Game of Thrones : le réveil musical de la saison 6
La bande-son de la saison 6 de Game of Thrones est bourrée de pistes cultes et mérite à elle seule une chronique entière.
J’ai une confession à faire : j’aime énormément le compositeur Ramin Djawadi (comme vous avez déjà pu le lire dans les #OSTgasme sur Person of Interest et Pacific Rim et probablement bientôt dans une autre chronique sur Warcraft), mais je n’ai jamais trouvé son travail sur Game of Thrones captivant. A l’exception de la musique du générique, cela va sans dire.
Mais est finalement arrivée la saison 6. Et là, tout a basculé. Le compositeur semble s’être réveillé et a enchaîné pistes cultes sur pistes cultes et mérite donc désormais une chronique. Celle-ci se concentrera donc exclusivement sur cette saison tant il y a de morceaux à relever.
Ramin Djawadi – Main Titles
Sans surprise, impossible de commencer avec autre chose que le thème du générique, toujours efficace malgré les années.
Ramin Djawadi – Light of the Seven
Probablement la piste qui aura le plus fait réagir le public avec ses notes de pianos entêtantes, “Light of the Seven” est un bijou d’entrée dans la folie qui prend son temps pendant presque 10 minutes.
Ramin Djawadi – The Red Woman
“The night is dark and full of terrors.” Tels sont les célèbres mots de Melisandre, qui méritait bien une piste rien que pour elle, avec une seconde partie particulièrement réussie.
Ramin Djawadi – Khaleesi
Autre confession : le personnage de Daenerys Targaryen m’énerve fortement, mais force est de constater que le morceau “Khaleesi” qui lui est dédié est une merveille. Les coeurs et la montée en cadence sont les deux mamelles principales de cette piste qui est finalement beaucoup trop courte.
Ramin Djawadi – Bastard
Et si on énervait un peu les choses avec le morceau “Bastard” ? Vous pouvez également écouter “Feed the Hounds” avec laquelle nous avons beaucoup hésité.
Ramin Djawadi – The Winds of Winter
Comme il était impossible de commencer avec autre chose que le thème principal, impossible également de conclure avec autre chose que “The Winds of Winter” qui, comme le vent froid de l’hiver, risque de vous donner la chair de poule de manière concrète.