Google inaugure son premier atelier du numérique au monde… en France !

Google poursuit sa politique du « tous au numérique » et ouvre ce matin à Rennes son premier atelier du numérique. Premier d'une série de quatre, il formera gratuitement 100 000 personnes par an aux sciences dédiées.

Après avoir stratégiquement jeté son dévolu sur la ville de Rennes et obtenu l’aval des autorités locales, Google procède ce samedi à l’ouverture d’un atelier numérique dans la ville Bretonne. Cette création, qui pour le géant du net est une première mondiale, est chapeautée par le directeur général de Google France, Sébastien Missoffe.

Un atelier Google du numérique inauguré à Rennes

Inauguré le vendredi 8 juin, le site a ouvert ses portes ce matin même à 09 heures, sous l’œil approbateur des partenaires et élus locaux d’Ille-et-Vilaine. Connue pour sa population jeune et son importante communauté étudiante, la ville de Rennes était toute désignée pour y promouvoir les sciences numériques et entretenir la popularité de la firme de la Silicon Valley.

Dans ces ateliers, les professionnels et particuliers qui le souhaitent seront gratuitement formés à l’utilisation du numérique sous toutes ses formes. Cette démarche s’inscrit dans un programme qui ne s’arrêtera pas là, puisque 3 ateliers supplémentaires sont prévus en France courant 2018.

La culture du « tous au numérique »

Avec l’ouverture de ce premier atelier numérique à Rennes, le géant du web démontre une fois encore son ambition. En effet, un tel projet dans la ville étudiante pousse clairement en faveur du numérique pour tous. La firme n’en est d’ailleurs pas à son coup d’essai, ayant depuis 2012 déjà formé 230 000 français au numérique.

Avec la création de cet espace de 200 m² en plein cœur de Rennes, Google s’offre une place dans la boucle formation/emploi, et veut s’assurer que chacun a la possibilité d’être formé au numérique. Sébastien Missoffe précise toutefois que « Les formations ne porteront pas uniquement sur des produits Google ».

Les prochaines villes ciblées n’ont pour l’heure pas été dévoilées, mais chaque site devrait permettre de former 100 000 personnes par an : un grand coup de booste en faveur de la culture du « tous au numérique ».