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11.22.63 : la série qui y va Franco avec le voyage dans le temps

Pop Culture
Par Antoine Roche,  publié le 17 février 2016 à 10h39.

Nous avons vu le (long) premier épisode de la série 11.22.63 et voici notre avis.

Pour entamer cette critique, j’ai longuement hésité à m’excuser pour le titre, mais ça ne serait pas sincère. Commençons plutôt les hostilités par une présentation classique de 11.22.63, l’une des dernières séries de notre guide des nouvelles séries les plus prometteuses de ce début 2016. Adaptée du roman du même nom de Stephen King, il s’agit d’une mini-série en 8 épisodes diffusée depuis le 15 février sur le service de VOD Hulu.

Un démarrage prometteur qui prend son temps

Le synopsis est on ne peut plus simple : En 2011, Jack Epping (James Franco), est professeur dans le Maine. Un jour, son ami Al Templeton (Chris Cooper), qui possède un restaurant, lui dévoile qu’il possède un placard permettant lorsqu’on le traverse de se retrouver en 1960. Il demande alors au héros de voyager dans le temps afin d’empêcher l’assassinat de John F. Kennedy le 22 novembre 1963.

Dans le premier épisode (“The Rabbit Hole”), Bridget Carpenter en charge de la série prend son temps. En effet, le pilote dure 1h20 et permet de poser les bases du show sans foncer tête la première vers le moment fatidique du meurtre de JFK.

La série explique ainsi tranquillement ce qui va motiver Jake Epping à s’imposer cette mission (vie privée moribonde, volonté d’empêcher la guerre du Vietnam…etc.), s’attarde sur les quelques difficultés qu’il a à s’adapter à sa nouvelle époque, mais explicite également un élément important du show : les règles du voyage dans le temps.

En effet, “le passé n’aime pas être changé”. Ainsi, lorsque le personnage incarné par l’impeccable James Franco réalise une action susceptible d’influencer le futur, le temps lui-même essaye de le faire échouer, quitte à le tuer dans l’opération. Malgré quelques éléments qui font légèrement tiquer concernant ces règles qui semblent un peu arbitraires par moment pour ajouter du drame dans ce premier épisode, reste que l’idée est bonne et parvient à séduire.

L’ensemble est suffisamment intrigant et bien mis en scène pour que les 80 minutes passent finalement assez vite malgré le manque d’action. L’ambiance des années 60 est d’ailleurs fort sympathique et le plaisir de Franco de conduire une belle décapotable en écoutant de la musique de l’époque est assez contagieux.

Cela dit, à en juger par la fin de l’épisode où le héros va décider de s’occuper d’un élément du passé non lié à sa mission et au fait qu’il va devoir vivre plusieurs mois/années dans le passé pour arriver à empêcher l’assassinat, l’on espère sincèrement que les épisodes suivants ne vont pas simplement servir à remplir le show jusqu’au moment fatidique. Une série est généralement mieux adaptée qu’un film pour raconter un récit sans avoir à précipiter les choses, mais le remplissage inutile est également à éviter.

11.22.63 : notre avis sur le pilote

Le premier épisode de 11.22.63 est plus que correct. Le mélange historique (JFK) et science-fiction (le voyage dans le temps) est suffisamment intéressant et intrigant pour attendre assez impatiemment les épisodes suivants. Le pilote est extrêmement propre, de la réalisation à la performance de James Franco, bien que pour le moment il ne s’agisse pas d’un véritable coup de foudre comme peuvent le générer d’autres séries.

  • À LIRE AUSSI : Lucifer : un pilote diabolique à correctement exploiter

Reste à espérer que 11.22.63 ne prendra pas le même chemin qu’une autre série adaptée d’un roman de Stephen King, à savoir Under the Dome, dont le pilote était très convaincant avant que la série ne s’effondre finalement dès la première saison dans la médiocrité (pour rester poli).

Le Récap
  • Un démarrage prometteur qui prend son temps
  • 11.22.63 : notre avis sur le pilote
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