Commençons par l’interface. Au démarrage on nous propose la création d’un compte Flyme et nous avons reçu un mail en chinois. Pas très rassurant pour un modèle “international”, d’ailleurs cela se confirmera avec le navigateur Internet qui proposera des suggestions en chinois à chaque première lettre. Passons ce léger détail pour s’intéresser au bouton unique du smartphone.
Meizu l’a joué à la Apple tout en “l’améliorant”. Si l’on appuie dessus, on effectue l’action de retour à l’accueil, tandis qu’un effleurement fera un “précédent”. Enfin un swipe de bas en haut montrera le multitâche. C’est simple, mais Meizu ne nous offre même pas un tutoriel pour comprendre son téléphone ! Il faut toucher à tout pour comprendre et quand on vient d’Apple ou d’un smartphone Android, on est perdu. Certaines options sont à découvrir par soi-même comme le fait de tracer des lettres pour lancer des applications. Encore une fois, c’est dommage.
En soi FlymeOS c’est une surcouche chinoise, mais sans l’aspect customisation qu’on retrouve chez les autres marques. Beaucoup d’options intéressantes, mais pas présentées, donc on ne les active pas et on gâche le potentiel du téléphone.
Nous étions en version 4.5 lors des tests alors que la 5 est disponible chez Meizu (et Meizu-France), une “erreur” (selon notre contact pour la marque) donc nous n’avons pas eu le droit de l’installer sur le modèle de test.