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Dans la pratique, Dead Rising 4 ne cherche pas non plus à réinventer la roue, mais il ne se contente cependant pas de reprendre à son compte les recettes des précédents opus. Ce qui aurait pu être une qualité, laisse cependant un sentiment mitigé. En effet, dans la majorité des cas, Capcom Vancouver a surtout cherché à simplifier encore un gameplay pourtant pas très subtil. Ainsi, il n’est pour ainsi dire plus possible d’échouer à une mission, de planter un objectif. Les amateurs de crafting seront ravis de voir que des centaines d’objets trainent un peu partout dans les environnements du jeu, mais le fait est que cela réduit aussi sensiblement l’impression de pénurie que l’on pouvait ressentir autrefois. Certes, on se fait plaisir à tester des dizaines d’armes différentes, à combiner tout un tas de matériel pour des effets surprenants, mais le sentiment d’insécurité est pour ainsi dire absent : on sait toujours que l’on va vite retrouver de quoi défoncer du zombie.
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Puisque nous parlons de crafting, notons également que toute cette gestion a été simplifiée. Nous l’avons dit, les objets se trouvent par centaines dans les rues de Willamette et on peut toujours modifier, transformer notre arme de mêlée ou notre flingue. Les amateurs de pétoires plus délirantes les uns que les autres seront sans doute aux anges, mais nous regrettons tout de même que la gestion des articles de soin aient été à ce point négligée. Il s’agit du parent pauvre de l’artisanat et pour faire simple, la nourriture fonctionne comme des médikits et il n’est de fait plus question de préparer quoi que ce soit à ce niveau. Reconnaissons que les armes obtenues et les véhicules disponibles font souvent rire, mais en simplifiant sensiblement l’inventaire et l’artisanat, Capcom Vancouver donne l’impression d’avoir voulu doper l’orientation beat them all du jeu au détriment de sa composant survival horror en monde ouvert.
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