Steelrising : le nouveau projet du studio Spiders dans un Paris uchronique à l’époque de la Révolution
Les Français de Spiders vont revisiter la Révolution française avec Steelrising.
Prévu à une date encore inconnue sur PS5, Xbox Series X et PC, l’action-RPG Steelrising du studio Spiders va plonger les joueurs en pleine Révolution française alors que le roi Louis XVI terrorise et réprime le peuple français avec son armée d’automates. Aegis, un robot féminin, viendra s’opposer à cette terreur pour tenter de changer le cours de l’Histoire, tout en partant à la recherche de son créateur sur ordre de la reine Marie-Antoinette pour mener à bien sa mission.
Steel Rising announced by @spidersgames (Greedfall), a new game set in Paris fighting King Louis XVI's automata army as Aegis, a female robot.
Coming to PC and next-gen consoles.
Official Twitter: @PlaySteelrising pic.twitter.com/7IqybZyBoJ
— Shinobi602 (@shinobi602) July 7, 2020
Un trailer pour Steelrising
Jehanne Rousseau, cofondatrice et présidente de Spiders, détaille les ambitions derrière cette nouvelle licence : “C’est notre nouveau jeu, avec un nouvel univers original créé exprès pour ce jeu-là, et aussi une nouvelle approche du gameplay beaucoup plus action que nos précédentes créations (The Technomancer, GreedFall). Il se déroule dans un Paris dans lequel on va retrouver des monuments qui sont connus et des monuments qui n’existent plus pour certains. Quand on a conçu Steelrising, notre postulat de base était de se dire ‘Que se serait-il passé si Louis XVI avait été un tyran et qu’il s’était servi de sa passion pour les mécaniques et les automates pour réprimer la révolution dans l’oeuf’. On a eu envie de se concentrer sur un parcours qui était assez vertical, c’est-à-dire que quand on se déplace dans les rues parisiennes, on ne se contente pas de courir au sol et puis effectivement d’enchainer les combats, on a eu envie vraiment d’exploiter d’autres types de mouvements. De pouvoir grimper sur un balcon, découvrir un petit passage secret à un endroit et ce genre de chose. Qu’il n’y ait finalement pas vraiment de rupture comme dans beaucoup de jeux où on explore et puis, ‘ah, un combat’ et c’est comme si d’un coup on changeait complètement de mode de jeu. Là, au contraire, les choses s’enchainent de manière fluide. C’est un univers qu’on a essayé de rendre aussi riche que possible.”