Resident Evil, Devil May Cry et Monster Hunter : les piliers de Capcom
L'éditeur nippon Capcom est extrêmement satisfait des performances commerciales de ses trois licences phares.
Si Resident Evil (91 millions de ventes, dont quatre millions avec le remake de RE2) et Monster Hunter (plus de 50 millions de ventes) sont deux gros noms de l’univers vidéoludique, la licence Devil May Cry (20 millions de ventes) avait perdu de sa superbe suite au reboot de Ninja Theory. Après être passé par la case hibernation, cette mauvaise impression fait désormais partie du passé pour Capcom qui l’érige comme une marque majeure. Le dernier opus a su conquérir le coeur des fans, tout en réalisant près de deux millions de ventes en seulement une quinzaine de jours. L’avenir de Capcom passera plus que jamais par ses trois titres.
La jeunesse pour améliorer les licences de Capcom
L’éditeur Capcom estime que les nouvelles recrues doivent travailler sur des franchises comme Devil May Cry et Resident Evil : “Ils débordent d’énergie et désirent utiliser leurs compétences afin de conquérir de nouveaux marchés. C’est pourquoi ils ont rejoint Capcom, dont l’ADN est ancré dans son orientation vers les marchés mondiaux. Si l’employé est très compétent, il peut être affecté au développement de grandes franchises, telles que Resident Evil ou Devil May Cry, et cela dès leurs premières années. Apprendre et obtenir des résultats sous la tutelle d’un leader, tout en assumant davantage de responsabilités au fil du temps, prépare cet employé à devenir chef de projet à leur tour.”
Capcom a vendu plus de 20 millions de jeux en 2019
Dans son dernier bilan financier, la société japonaise a annoncé aux actionnaires avoir écoulé 10 millions de copies physiques de ses jeux (65% sur PS4, 19,5% sur Switch, 12% sur Xbox One, 3% sur PC et 0,5% sur PS Vita). Le dématérialisé (DLC +jeux) fait d’ailleurs beaucoup mieux avec 15,3 millions sur l’ensemble des plateformes.