Quantic Dream annonce des surprises pour 2020
Le directeur créatif David Cage souhaite ses meilleurs voeux aux joueurs et tease les plans à venir du studio parisien.
L’année dernière, Quantic Dream a pris de l’ampleur en mettant fin à son partenariat avec Sony, en acceptant le chinois NetEase dans son capital, en proposant Heavy Rain, Beyond : Two Souls et Detroit : Become Human sur PC via l’Epic Games Store, et surtout en devenant un éditeur. Pour cette nouvelle année, la structure de David Cage et Guillaume de Fondaumière a des ambitions encore plus folles, mais il faudra se montrer patient avant d’en savoir plus : “Ok, je suis en retard … mais je voulais vous dire… Bonne année ! Je vous souhaite le meilleur pour 2020. 2019 a été une année incroyable pour le studio. 2020 devrait être encore plus excitant ! Nous avons beaucoup de surprises à venir pour nos fans, alors restez à l’écoute ! Et en 2020 plus que jamais : soyez déviant !”
Ok, I'm late… but I wanted to say
HAPPY NEW YEAR!
I wish you the best for 2020.
2019 has been an amazing year for the studio.
2020 should be even more exciting! We have a lot of surprises to come for our fans, so stay tuned!
And in 2020 more than ever: be deviant! pic.twitter.com/M7OS4SvvJq— David Cage (@David__Cage) January 14, 2020
Des surprises comme ? Des portages des licences de Quantic sur Switch et Xbox One ? Une nouvelle licence pour la PS5 et la Xbox One ? Un remake de The Nomad Soul ? Des jeux mobiles ? Une série télévisée avec un jeu à la manière de Quantum Break ? Difficile de prédire le futur du studio.
Bientôt la fin des déboires judiciaires de Quantic Dream
Accusé d’avoir fermé les yeux sur des photomontages très douteux qui étaient partagés en interne, Quantic Dream s’explique sur les dernières décisions de la justice : “Le Conseil des prud’hommes a rendu son jugement sur une affaire qui opposait Quantic Dream à un ancien salarié. Celui-ci demandait plus de 114.000 euros de dommages et intérêts, et la requalification de sa démission en licenciement, pour un photomontage de lui en ‘Super Nanny’. La juge l’a débouté de toutes ses demandes, considérant très clairement que l’image n’avait aucun caractère particulier qui pourrait justifier sa demande, et qu’il n’y a eu aucune dégradation des conditions de travail dans l’entreprise. Le jugement confirme en outre que l’entreprise a réagi de manière appropriée en prenant très rapidement toutes les mesures nécessaires. Le salarié a uniquement obtenu un dédommagement de 5000 euros (ainsi que 2000 euros pour les dépenses) au titre de ‘l’obligation de sécurité’, bien qu’aucun signalement n’ait été fait et que ces images étaient créées en dehors des heures du bureau, l’entreprise aurait dû anticiper tous risques de dérapage possible. Nous prenons acte de ce jugement et nous ne ferons pas appel. Il nous semblait important de diffuser les informations exactes afin d’éviter toute désinformation dure à une mauvaise interprétation des faits.“