Google Search se dote d’un outil d’auto-évaluation de l’anxiété
Si Google Search n'était à l'époque qu'un simple moteur de recherche, il est aujourd'hui bien plus complet. Offrant tout un tas de fonctionnalités annexes très pratiques au quotidien. En voici une nouvelle qui devrait aider en cette période difficile.
Le sentiment d’anxiété est très commun. Bien plus que l’on ne pourrait le croire. Et en cette période de crise sanitaire très délicate pour tout le monde, il est plus facile que jamais d’être anxieux. Si tel est le cas, il convient de savoir si c’est temporaire ou si le mal est plus profond. La pandémie de Covid-19 inquiète, évidemment, le confinement n’aide pas au bien-être mental, mais Google veut aider.
Google offre un outil d’auto-évaluation de l’anxiété
Le géant américain vient en effet d’annoncer la mise à disposition d’un nouvel outil d’auto-évaluation de l’anxiété directement dans les résultats de recherche. Cet outil consiste à poser un certain nombre de questions validées cliniquement. L’utilisateur répond à ces questions et l’algorithme lui indique s’il souffre ou non d’une quelconque forme d’anxiété. Le système ne propose pas de traitement, évidemment, mais il a au moins le mérite de permettre aux utilisateurs de mieux comprendre ce qu’ils ressentent et de demander l’aide d’un professionnel le cas échéant.
directement intégré dans les résultats de recherche
Selon le communiqué de Google, “l’anxiété peut entraîner une large variété de symptômes physiques et émotionnels, et cela peut prendre des années, des décennies entre les premiers symptômes et la mise en place d’un traitement adapté. En offrant un accès aux informations de professionnels compétents et des ressources et outils pour en apprendre davantage sur l’anxiété, nous espérons donner la possibilité aux utilisateurs de passer à l’action et d’obtenir de l’aide.” Cet outil d’auto-évaluation est actuellement affiché chaque fois qu’un internaute américain effectue une recherche sur l’anxiété via Google. Nul ne sait si l’outil arrivera en France. Les plus curieux pourront se rendre directement sur la page du questionnaire.