No More Heroes sur Switch : Suda51 précise que ce n’est pas un portage
Lors de la présentation de la Nintendo Switch, le studio Grasshopper Manufacture a officialisé l'arrivée de la série No More Heroes sur la nouvelle console du constructeur japonais. Cet opus sera bien un épisode inédit et non un simple portage.
Alors que le retour de Travis Toutchdown de la licence No More Heroes sur Nintendo Switch est une belle surprise, certains fans se sont demandé si cet opus serait bien une suite ou un portage sur la console hybride de la firme de Kyoto. Le producteur japonais Goichi Suda, alias Suda51, a donc souhaité rétablir l’ordre durant une interview en indiquant qu’il s’agissait bien d’une toute nouvelle production, mais qu’il ne savait pas encore si cet opus portera le nom de “No More Heroes 3”.
D’ailleurs, pour la première fois depuis 10 ans, Suda51 va s’occuper d’écrire le scénario, mais également de réaliser ce nouveau No More Heroes sur Nintendo Switch. Il va une nouvelle fois s’appuyer sur l’illustrateur Yusuke Kozaki (à l’origine du premier artwork de ce nouveau titre), mais également d’autres dessinateurs du milieu. Si l’année 2017 va marquer les 10 ans de No More Heroes, il ne faut pas s’attendre à une sortie avant l’année prochaine étant donné que le développement va seulement débuter d’ici quelques jours.
No More Heroes : otaku et assassin
Après avoir gagné un Beam Katana sur un site d’enchères et être devenu assassin alors qu’il était à court d’argent pour s’acheter des jeux vidéo, Travis Toutchdown, otaku et tueur à gage, accepte une mission qui lui est confiée par une belle jeune fille nommée Sylvia : tuer Helter Skelter, dit le perforateur, ce qui lui vaudra d’être classé 11e par la UAA (United Assassins Association, l’association des assassins unis) au terme d’un combat acharné. Réalisant qu’il devient ainsi lui-même une cible pour les aspirants assassins désirant entrer dans l’association, il décide, pour se protéger, prouver qu’il est le meilleur, et surtout pour passer une nuit avec la belle Sylvia, de devenir le tueur numéro un de l’association.