Apple : Un dépôt des Bouches-du-Rhône pillé par 4 malfaiteurs
Apple a été une nouvelle fois la cible d’un braquage et celui-ci s’est déroulé dans un dépôt des Bouches-du-Rhône.
Apple avait été victime le 31 décembre dernier d’un braquage. Les malfaiteurs avaient profité du jour de l’An pour dérober dans l’Apple Store Opéra de la capitale du matériel de la Pomme. Le montant du butin avait été estimé à 400 000 euros. Cette nuit, la firme de Cupertino a été une nouvelle fois la cible d’un cambriolage. Les malfaiteurs ne se sont pas attaqués à une boutique, mais ils se sont dirigés vers le dépôt régional du transporteur UPS situé dans les Bouches-du-Rhône et plus précisément à Vitrolles. Ils sont donc repartis avec des produits Apple comme des iPhone, des Mac ou encore des iPod.
iPhone, iPod, iPad…
Selon les premières estimations, ils auraient réussi à dérober de nombreux appareils et le montant du préjudice pourrait être très important. Actuellement, la somme exacte n’a pas été relayée, mais le cambriolage était maîtrisé. Selon une source proche de l’enquête, au minimum quatre personnes ont fait irruption dans ce dépôt de Vitrolles. Filmés par les caméras de surveillance, ils ont réussi à maîtriser les vigiles ainsi que les employés. Après avoir dérobé aux alentours de 4h30 les ordinateurs, tablettes et téléphones, les malfaiteurs armés ont pris la fuite, mais aucun blessé n’a été référencé. Ce n’est pas la première fois que cette ville est victime d’une telle actualité en lien avec Apple.
Apple victime de nombreux braquages
En effet, l’année dernière lorsque l’iPhone 5 avait été commercialisé, un fourgon avait été braqué à Vitrolles. Les malfaiteurs avaient ainsi pu repartir avec un nombre assez conséquent du dernier Smartphone d’Apple. Quelques semaines plus tard, un vol était référencé à New York, où 3600 iPad mini avaient été dérobés à l’aéroport. C’est donc la Police judiciaire de Marseille et notamment la BRB (Brigade de Répression du Banditisme) qui est en charge une nouvelle fois, de ce dossier. Malgré les caméras de surveillance, les malfaiteurs n’ont pas pu être identifiés puisqu’ils portaient des cagoules.